Le nègre

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Votre nègre
Blanc comme neige
Extraits d'ex-traits

Faites connaissance avec votre nègre

Bernard Germain, 46 ans, Grenoble.

Maîtrise en informatique, salarié 10 ans chez Thalès et 3 ans chez Teamlog (deux sociétés importantes du secteur du service informatique), créateur en 1990 et gérant (11 ans) d'une SARL de 5 salariés (ISL Informatique), lassé de la technique, après un passage aux affaires commerciales et marketing, je m'oriente aujourd'hui vers un statut de travailleur indépendant de l'écrit.

Imprégné d'une culture montagne et ski, je rédige déjà depuis plusieurs années divers textes (éditoriaux, contes, articles, nouvelles, critiques de film, etc.) autour de ce thème, à titre bénévole ou privé (pour des associations ou des sites Web).

En septembre 2005, Robert Morin, P-DG de Teamlog, me confie la rédaction de son livre. Séduit par le challenge, je plonge inconsidérément dans cet abîme d'inconnu de doute et de souffrance qu'on appelle ingénument "un premier livre". Remonté à la surface (à peu près) indemne, j'envisage désormais cette activité comme un nouveau métier. C'est décidé, je vais être nègre et m'en vais prêter ma plume aux dirigeants de sociétés désireux de raconter leur épopée industrielle.

Hum... ce nègre est-il blanc comme neige ?

Je sais ce que vous pensez. "Le gars qui sourit sur la photo et qui tente de se faire passer ici pour un écrivain n'est en réalité qu'un ex-informaticien, sans doute un original qui, après avoir aligné les zéros et les uns croit pouvoir faire la même chose avec les mots, et sans la moindre formation littéraire par-dessus le marché !"

En effet, je ne suis pas (ni ne me prends pour) un écrivain. Cependant, même si mon savoir-faire est empirique, je suis capable de relater une histoire et, si besoin est, de la romancer pour lui donner plus d'allant et de corps.
Mon petit plus c'est l'imagination. Il arrive que mes muses soient compatissantes et m'offrent la possibilité de proposer des scénarios originaux.
Enfin, ma double expérience de salarié et de patron m'a donné une vision bi-angulaire du monde de l'entreprise. Elle m'est très précieuse dans la compréhension des parcours et des hommes. Au fil de la narration, elle me permet de me rapprocher au plus près de leurs réalités.

Pour tous les textes publiés, je fais appel à des professionnels confirmés pour une séance de relecture avant impression. Garantie supplémentaire pour éviter coquilles et autres imperfections de langage.

Extraits d'ex-traits de plumes

Contes Rapides pour riders pressés, (16 contes) édités par PawEdit
Ces contes portent bien leur nom. En quelques phrases glissées, on dévale les pentes du monde blanc, terrain de jeu de ces chevaliers modernes nommés "riders".
Instantanés volés au ventre des glaces, moments suspendus au milieu des abîmes, déferlantes d'images rapides et affolées, on plonge à pleine spatule dans des vagues d'écumes cristallines et froides. Mais comme ces héros restent des hommes, qu'ils aiment et qu'ils souffrent comme tous leurs semblables, il leur arrive parfois de poser les skis pour un petit supplément d'amour.
Un concentré explosif et violent d'adrénaline, de drame, d'humour, de passion, de poésie... de vie : celle des riders.

Quatre extraits: Dernier soleil, l'hélico, le couloir, couchant.

Nouvelles (2) sélectionnées pour le Prix littéraire Inovallée 2005, recueil Vert comme l'hiver, éditées par PawEdit
Concours de nouvelles organisé conjointement par inovallée et par PAWEdit.com. Le jury, composé d’écrivains amateurs ou professionnels et de passionnés de littérature, est présidé cette année par Fabrice Vigne, auteur confirmé de la région grenobloise. Mais, laissons le président du jury introduire les textes sélectionnés :
Les textes qui composent ce recueil ont été écrits avec une double contrainte : devaient y figurer deux éléments antagonistes, la neige, et la Zirst. Neige sur la Zirst ? Voilà presque un oxymoron. Neige vs. Zirst, plutôt.
À ma droite : Zone, Innovation, Réalisations, Scientifiques et Techniques. Autant dire le progrès en marche, la conquête des possibles, le regard sur l’horizon, le labeur humain pénétré de lui-même et de son destin, sa route bien dégagée et balisée, sa pérennité, sa prospérité au soleil.
A ma gauche, la neige, autant dire le contraire. Plus la moindre conquête, plus de marche sous le soleil, plus de soleil du tout d’ailleurs, l’horizon lui-même disparaît. Tout enseveli, aboli, une page blanche sans futur. La Zirst, c’est l’affirmation prométhéenne de la présence de l’homme. La neige, c’est son fatal estompement sous plus grand que lui. Prospection d’un côté, introspection de l’autre.
« Vert comme l’hiver » de Jacques Michel, qui donne son nom au recueil des nouvelles sélectionnées, remporte le prix littéraire inovallée 2005.

Deux extraits: Neige d'avril, Le chemin essentiel.

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	Bernard Germain, 46 ans, Grenoble. Maîtrise en informatique, salarié 10 ans chez Thalès et 3 ans chez Teamlog (deux sociétés importantes du secteur du service informatique), créateur en 1990 et gérant (11 ans) d'une SARL de 5 salariés (ISL Informatique), lassé de la technique, après un passage aux affaires commerciales et marketing, je m'oriente aujourd'hui vers un statut de travailleur indépendant de l'écrit. Imprégné d'une culture montagne et ski, je rédige déjà depuis plusieurs années divers textes (éditoriaux, contes, articles, nouvelles, critiques de film, etc.) autour de ce thème, à titre bénévole ou privé (pour des associations ou des sites Web). En septembre 2005, Robert Morin, P-DG de Teamlog, me confie la rédaction de son livre. Séduit par le challenge, je plonge inconsidérément dans cet abîme d'inconnu de doute et de souffrance qu'on appelle ingénument "un premier livre". Remonté à la surface (à peu près) indemne, j'envisage désormais cette activité comme un nouveau métier. C'est décidé, je vais être nègre et m'en vais prêter ma plume aux dirigeants de sociétés désireux de raconter leur épopée industrielle.

	Hum... ce nègre est-il blanc comme neige ?

	Je sais ce que vous pensez. "Le gars qui sourit sur la photo et qui tente de se faire passer ici pour un écrivain n'est en réalité qu'un ex-informaticien, sans doute un original qui, après avoir aligné les zéros et les uns croit pouvoir faire la même chose avec les mots, et sans la moindre formation littéraire par-dessus le marché !" En effet, je ne suis pas (ni ne me prends pour) un écrivain. Cependant, même si mon savoir-faire est empirique, je suis capable de relater une histoire et, si besoin est, de la romancer pour lui donner plus d'allant et de corps. Mon petit plus c'est l'imagination. Il arrive que mes muses soient compatissantes et m'offrent la possibilité de proposer des scénarios originaux. Enfin, ma double expérience de salarié et de patron m'a donné une vision bi-angulaire du monde de l'entreprise. Elle m'est très précieuse dans la compréhension des parcours et des hommes. Au fil de la narration, elle me permet de me rapprocher au plus près de leurs réalités. Pour tous les textes publiés, je fais appel à des professionnels confirmés pour une séance de relecture avant impression. Garantie supplémentaire pour éviter coquilles et autres imperfections de langage.

	Extraits d'ex-traits de plumes

	Contes Rapides pour riders pressés, (16 contes) édités par PawEdit Ces contes portent bien leur nom. En quelques phrases glissées, on dévale les pentes du monde blanc, terrain de jeu de ces chevaliers modernes nommés "riders". Instantanés volés au ventre des glaces, moments suspendus au milieu des abîmes, déferlantes d'images rapides et affolées, on plonge à pleine spatule dans des vagues d'écumes cristallines et froides. Mais comme ces héros restent des hommes, qu'ils aiment et qu'ils souffrent comme tous leurs semblables, il leur arrive parfois de poser les skis pour un petit supplément d'amour. Un concentré explosif et violent d'adrénaline, de drame, d'humour, de passion, de poésie... de vie : celle des riders. Quatre extraits: Dernier soleil, l'hélico, le couloir, couchant.

	Nouvelles (2) sélectionnées pour le Prix littéraire Inovallée 2005, recueil Vert comme l'hiver, éditées par PawEdit Concours de nouvelles organisé conjointement par inovallée et par PAWEdit.com. Le jury, composé d’écrivains amateurs ou professionnels et de passionnés de littérature, est présidé cette année par Fabrice Vigne, auteur confirmé de la région grenobloise. Mais, laissons le président du jury introduire les textes sélectionnés : Les textes qui composent ce recueil ont été écrits avec une double contrainte : devaient y figurer deux éléments antagonistes, la neige, et la Zirst. Neige sur la Zirst ? Voilà presque un oxymoron. Neige vs. Zirst, plutôt. À ma droite : Zone, Innovation, Réalisations, Scientifiques et Techniques. Autant dire le progrès en marche, la conquête des possibles, le regard sur l’horizon, le labeur humain pénétré de lui-même et de son destin, sa route bien dégagée et balisée, sa pérennité, sa prospérité au soleil. A ma gauche, la neige, autant dire le contraire. Plus la moindre conquête, plus de marche sous le soleil, plus de soleil du tout d’ailleurs, l’horizon lui-même disparaît. Tout enseveli, aboli, une page blanche sans futur. La Zirst, c’est l’affirmation prométhéenne de la présence de l’homme. La neige, c’est son fatal estompement sous plus grand que lui. Prospection d’un côté, introspection de l’autre. « Vert comme l’hiver » de Jacques Michel, qui donne son nom au recueil des nouvelles sélectionnées, remporte le prix littéraire inovallée 2005. Deux extraits: Neige d'avril, Le chemin essentiel.

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